Critique: Dom Hemingway

Dom Hemingway de Richard Shepard avec Jude Law, Emilia Clarke, Kerry Condon, Demián Bichir, Nathan Stewart-Jarrett, Madalina Ghenea, Jumayn Hunter, Richard Graham, Scott Goodall 

L'histoire: Ayant refusé de dénoncer un parrain russe et purgé une peine de prison de douze ans, notamment pour avoir gardé le silence, Dom Hemingway, perceur de coffre-fort réputé, compte bien récupérer son dû auprès de celui qu'il a couvert.

La critique de Michel Decoux-Derycke: Le ton du film est donné dès le début, Jude Law alias Dom Hemingway, avec une barbe particulière, monologue sur les qualités de son pénis alors qu'il se fait sucer en prison. Tout le long, on va être dans l'excès, surtout dans le cas de Dom Hemingway vantard, pétaradant, outrancier mais on le verra dans la dernière partie, avec un coeur de beurre. Parce qu'il est passé à côté de sa fille because douze années de prison. 
On reconnaît la patte britannique que ce soit dans la réalisation, l'interprétation, la bande originale et l'humour. Important, l'humour qui désamorce la dureté de certaines situations. 
C'est divertissant et sans prétention, c'est fait pour passer un bon moment.