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Critique: White Chamber (BIFFF 2018)
White Chamber , long métrage, réalisation: Paul Raschid, scénario: Paul Raschid, distribution: Amrita Acharia, Candis Nergaard, Nicholas Farrell, Oded Fehr, Sharon Maughan, Shauna Macdonald
Drame, Royaume-Uni, 89'L'histoire: Royaume-Uni. Bientôt. La guerre civile fait rage. Une femme se réveille dans une cellule cuboïde blanc aveuglante. Elle est torturée. Elle aurait des informations qu'elle prétend ne pas avoir mais dit-elle vrai ?
La critique de Michel Decoux-Derycke: "White Chamber" dure normalement quatre-vingt neuf minutes, j'ai eu l'impression qu'il y en avait le double tellement je me suis ennuyé. Tout de même, à un moment, j'ai ri... jaune d'entendre certains dialogues. J'explique, un des personnages dit que dans une guerre, il n'y a pas de bons, pas de méchants, tout le monde est coupable. Coupable, mon oeil, quand la Belgique a été envahie deux fois par l'Allemagne, elle gênait le passage et a dû donc subir les aléas d'une guerre qu'elle n'avait pas demandée. Donc cet argument ne tient pas. Ce n'est pas pour ça que le film est mauvais, il n'a ni queue, ni tête, on ne comprend pas où veut en venir le réalisateur-scénariste.
Tags : White Chamber, Paul Raschid, Amrita Acharia, Candis Nergaard, Nicholas Farrell, Oded Fehr, Sharon Maughan, Shauna Macdonald, BIFFF 2018