• Critique: The Jane Doe Identity

    The Jane Doe Identity (titre original: The autopsy of Jane Doe) de André Øvredal avec Emile Hirsch, Brian Cox, Ophelia Lovibond, Olwen Catherine Kelly, Michael McElhatton

    Affiche The Jane Doe Identity

    L'histoire: Quand la police leur amène le corps immaculé d’une Jane Doe (expression désignant une femme dont on ignore l’identité), Tommy Tilden et son fils, médecins-légistes, pensent que l’autopsie ne sera qu’une simple formalité. Au fur et à mesure de la nuit, ils ne cessent de découvrir des choses étranges et inquiétantes à l’intérieur du corps de la défunte. Alors qu’ils commencent à assembler les pièces d’un mystérieux puzzle, une force surnaturelle fait son apparition dans le crématorium...

    La critique de Michel Decoux-Derycke: Présenté au dernier BIFFF, "The autopsy of Jane Doe" (Prix du Public) vient de sortir en France sous le titre "The Jane Doe Identity". Bizarre de ne pas avoir traduit tout simplement le titre original: "L'autopsie de Jane Doe", c'est quand même plus parlant. Il y aurait un débat à faire sur ces titres mal traduits, tronqués et de ce fait, ne voulant plus rien dire. Bon, ce n'est pas l'objet de cette critique.
    Six ans après "Troll Hunter", le réalisateur norvégien André Øvredal revient nous faire peur. Cette fois, ce n'est pas dans les bois mais dans une salle d'autopsie. Cela démarre comme une autopsie normale puis cela évolue vers l'horreur et l'angoisse. C'est un huis clos. Les plans sont soignés et baignent dans une lumière blanche. Jane Doe (Olwen Catherine Kelly) est extrêmement impressionnante, filmée comme un mannequin inerte avec des gros plans sur ses yeux gris et son visage inexpressif. Brian Cox et Emile Hirsch forment un bon duo. On est devant un film d'horreur qui ne paie pas de mine.

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