Critique: Elle s'appelle Ruby

Elle s'appelle Ruby (titre original: Ruby Sparks) de Jonathan Dayton et Valerie Faris avec Paul Dano, Zoe Kazan, Antonio Banderas, Annette Bening, Elliot Gould

L'histoire: Un jeune écrivain dépasse son syndrome de la page blanche en créant une jeune femme hors du commun. Peu à peu, il tombe amoureux de cette fille de papier et n'en croit pas ses yeux quand sa création prend vie. Mieux encore, il se rend compte que tout ce qu'il écrit à son propos devient réalité dans l'instant.

La critique de Michel Decoux-Derycke: Je suis un peu déçu par ce film. J’en espérais plus sur le thème d’un personnage sortant de l’imagination d’un écrivain. C'est trop mièvre, trop consensuel. Paul Dano, qui joue l'écrivain, est nettement moins bon que dans "Being Flynn". Peut-être parce qu'il avait en face de lui Robert De Niro. Ici, c'est sa compagne dans la vie, Zoé Kazan. Celle-ci est mignonne mais je ne l'ai pas trouvée extraordinaire dans son jeu.