Critique: Danny Collins

Danny Collins de Dan Fogelman avec Al Pacino, Melissa Benoist, Nick Offerman, Jennifer Garner, Josh Peck, Bobby Cannavale, Annette Bening, Christopher Plummer

L'histoire: Une rock-star vieillissante ne souhaite pas changer ses habitudes de vie, jusqu'à ce que son agent lui fasse ouvrir une lettre gardée secrète pendant 40 ans, écrite de la main de John Lennon, l'un des membres des Beatles. Suite à cette découverte inattendue, Danny Collins va chercher à redécouvrir sa famille et à trouver l'amour.

La critique de Michel Decoux-Derycke: C'est le premier long métrage de Dan Fogelman, auparavant, il a été notamment le scénariste de "Cars" et "Crazy Stupid Love". Au départ, Steve Carell devait jouer le rôle principal mais avec le retrait de la Warner Bros, le casting a été bouleversé. C'est finalement Al Pacino qui a hérité du rôle. Même chose pour Annette Bening et Bobby Carnavale qui ont remplacé Julianne Moore et Jeremy Renner.
Le scénario de Dan Fogelman est bien ficelé, on se laisse prendre par cette histoire sympathique et pleine d'humour. Evidemment, les situations sont prévisibles. Toutefois, les interprétations d'Al Pacino, d'Annette Bening, de Christopher Plummer (savoureux en agent artistique) et des autres acteurs permettent de faire passer la pilule. A propos d'Al Pacino, depuis plusieurs années, il enchaînait les rôles sans véritable fil conducteur. Avec Danny Collins, il démontre que le talent est toujours bel et bien là.