L'histoire: Grande gueule rebelle du FSB, la police secrète russe, Natasha vient de se ramasser une grosse claque : deux de ses collègues lui annoncent qu’elle est une miraculée, car elle est la seule personne encore vivante à avoir croisé la route du Photographe, redoutable tueur en série moscovite. Où ? Quand ? Comment ? Ce qu’elle va apprendre va lui glacer les os et la plonger dans une enquête pas piquée des vers.
Le critique de Michel Decoux-Derycke;Peu connu de côté-ci de l'Europe, Waldemer Krystek a pourant été sélectionné à Cannes et a représenté la Polonge dans la course aux Oscars.
Ici, nous sommes dans un thriller se passant à Moscou où un petit groupe de policier est à la poursuite d'un tueur en série. L'étonnant déjà est un réalisateur polonais s'aventure sur les terres russes quant on sait la rivalité entre les deux pays. Ou alors le climat s'est largement réchauffé. l n'y a rien à redire sur la réalisation, elle est impeccable. Le casting nous permet de découvrir de nouvelles têtes. Notamment le joli minois de Tatiana Arngolts, mélange de blondeur et de dureté.
Et la question, vu la fin, est; y aura-t-il une suite ou est-ce le début d'une série ?
Vieux routier du cinéma polonais, Waldemar Krzystek a déjà connu Cannes (The Last Ferryen 1990) et une présélection aux Oscars pour 80 Million, en 2011. Cette fois, il nous revient avec un thriller implacable, jonglant avec maestria entre un Cold Case en pleine Guerre Froide et une course contre la montre d’une efficacité redoutable ! Si l’ombre deJohn le Carré plane indéniablement sur le scénario, avec la dissection d’une politique aussi désuète qu’une enclume rouge, l’emballage noir et sans concession qui évoque Fincherpose The Photographer comme une œuvre aussi atypique que nerveuse.
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)