Eklablog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Critique: Pas son genre

L'histoire:  Clément, jeune professeur de philosophie parisien est affecté à Arras pour un an. Entre l’ennui l’oppressant et la météo le plombant, Clément ne sait pas à quoi occuper son temps libre. C’est alors qu’il rencontre Jennifer, jolie coiffeuse, qui devient sa maîtresse. Si la vie de Clément est régie par Kant ou Proust, celle de Jennifer est rythmée par la lecture de romans populaires, de magazines «people» et de soirées karaoké avec ses copines. Coeurs et corps sont libres pour vivre le plus beau des amours mais cela suffira-t-il à renverser les barrières culturelles et sociales ?

La critique de Michel Decoux-Derycke: Avec cette comédie romantique, Lucas Belvaux nous montre une autre facette de son talent de réalisateur. Il nous avait habitué à des histoires plutôt sombres. Ici, c'est une belle histoire d'amour attachante et d'une rare intelligence. C'est, à la fois, léger et profond. On en ressort chamboulé et heureux. 
Emilie Dequenne est exceptionnelle, lumineuse, bluffante, l'émotion à fleur de peau. Et de plus, elle nous montre son talent de chanteuse. Oui, c'est bien elle qui chante dans le film. A ce propos, il y a une belle bande originale: "J'ai encore rêvé d'elle" d'un groupe que j'adore: Il était une fois, "You Can't Hurry Love" ou encore "Live is Life".

Affiche Pas son genre

Lire aussi l'entretien avec Lucas Belvaux

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article