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Critique: L'homme qu'on aimait trop

L'histoire: Nice, 1976. Agnès Le Roux, fille de la propriétaire du Palais de la Méditerranée, tombe amoureuse d’un bel avocat de dix ans son aîné Maurice Agnelet. Il a d’autres liaisons, elle l’aime à la folie. Sur fond de guerre des casinos, il la met en relation avec Jean-Dominique Fratoni, le sulfureux concurrent de sa mère, qui lui offre 3 millions de francs pour prendre le contrôle du casino. Agnès accepte mais supporte mal sa trahison. Maurice s’éloigne. Après une tentative de suicide, la jeune femme disparaît...

La critique de Michel Decoux-Derycke: Présenté hors compétition au dernier Festival de Cannes, "L'homme qu'on aimait trop" nous propose le récit linéaire et chronologique d'un fait divers défrayant la chronique judiciaire en France depuis les années 70. 

Les deux premiers tiers du film sont les plus intéressants. C'est là que l'on ressent vraiment le drame familial et la manipulation amoureuse. Catherine Deneuve et Guillaume Canet sont bien dans leurs personnages. Je suis moins convaincu par Adèle Haenel. Par contre, le dernier tiers du film est à oublier: une reconstitution de procès, avec des maquillages complètement ratés, ennuyeuse et n'apportant rien au propos. 

Affiche L'homme qu'on aimait trop

 

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