Critique: La Femme la plus Assassinée du Monde (BIFFF 2018)

La Femme la plus Assassinée du Monde, long métrage, réalisation: Frank Ribière, scénario: Frank Ribière et Vérane Frédiani, distribution: Anna Mouglalis, Niels Schneider, Eric Godon, André Wilms, Jean-Michel Balthazar, Renaud Rutten, Jean-Jacques Rausin, Christian Crahay, Cédric Hubinon
Mystère, Belgique, 102'

L'histoire: Paula Maxa, de son vrai nom Marie-Thérèse Beaux, actrice vedette du fameux théâtre Grand-Guignol dans le Pigalle des années 1930. Elle est morte plus de 10.000 fois… sur scène et a connu une vie amoureuse assez tumultueuse.

La critique de Michel Decoux-Derycke: Lors de la présentation du film juste avant la projection, on a l'impression que l'on va vivre un bon moment. Le réalisateur et la scénariste sont tellement convaincants. Et quand on vous dit que c'est une première mondiale, cela ajoute un plus aux attentes.
Il ne faut pas un quart d'heure pour comprendre qu'on est tombé dans un traquenard, le long métrage de Frank Ribière s'avère d'une lenteur exaspérante, on attend désespérément la petite étincelle qui le ferait démarrer. Moi, j'ai abandonné après quarante minutes.