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Critique: Charismata (BIFFF 2018)
Charismata, long métrage, réalisation: Andy Collier et Toor Mian, scénario: Andy Collier et Toor Mian, distribution: Andonis Anthony, Jamie Satterthwaite, Johnny Vivash, Sarah Beck Mather
Horreur, Royaume-Uni, 96'L'histoire: La santé mentale d'un détective de police commence à s'effriter alors qu'elle enquête sur une série de meurtres rituels brutaux.
La critique de Michel Decoux-Derycke: La première demie-heure laisse espérer beaucoup de choses. Rebecca Faraway, policière de son état, jouée Sarah Beck Mather dont c'est le premier long métrage et c'est une vraie découverte, est en butte à l'hostilité de son équipier ainsi qu'aux railleries de ses collègues. Les dialogues de cette première partie sont teintés d'un humour bien british. Les meurtres qu'elle découvre sont particulièrement gratinés, marqués du sceau de satanisme. Rebecca Faraway acquiert une conviction balayée d'un revers de main mais elle s'obstine. Alors qu'on croit le film lancé, c'est là que ça merde, on arrive dans le ventre mou. C'est tellement mou que cela m'a fait décrocher. Bon, il y a quelques séquences intéressantes pendant cette longue marche vers le générique final: les hallucinations de la policière notamment un rêve érotique bien foutu. Toutefois, ce n'est pas suffisant pour j'y trouve mon compte.
Tags : Charismata, Andy Collier et Toor Mian, Andonis Anthony, Jamie Satterthwaite, Johnny Vivash, Sarah Beck Mather, BIFFF 2018