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Tout au long de cet été, les amateurs de cinéma seront gâtés à la Cinematek. Cela commence dès ce 2 juin avec Classics, anthologie libre des films ayant influencé le développement du septième art. On y retrouve pêle-mêle: "Shanghai Express", "Pierrot le fou", "Merry Christmas Mr Lawrence", "Jules et Jim", "Vol au-dessus d'un nid de coucou", "Le facteur sonne toujours deux fois", "Fargo", "Star Wars", "La vie de Brian", ...
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Dans une semaine, à Flagey, le Brussels Film Festival 2015 s'ouvrira avec "La Loi du Marché" de Stéphane Brizé. Film présenté au récent Festival de Cannes et pour lequel Vincent Lindon a remporté le Prix d'interprétation masculine. Le Festival se clôturera, une semaine plus tard, avec "X+Y" de Morgan Matthews. Entretemps, il y aura eu une compétition européenne avec onze films en lice. Ceux-ci proviennent des Pays-Bas, d'Allemagne, de Pologne, du Danemark, de Suisse, d'Islande, de Suède, de Bulgarie et de France.
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Tout est dit dans le titre. Ce festival bisannuel, dont la troisième édition se déroulera du 10 au 15 novembre prochain à Namur, a pour particularité de programmer des fictions et des documentaires centrés sur les réalités et les capacités des personnes en situation de handicap. Que ce soit par le sujet ou la personne en tant qu'acteur.
Une stratégie de communication a été mise sur pied pour accompagner le changement de nom. Une première campagne a été lancée le week-end dernier.
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Citizenfour, documentaire de Laura Poitras
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San Andreas de Brad Peyton avec Dwayne Johnson (The Rock), Alexandra Daddario, Carla Gugino, Colton Haynes, Kylie Minogue, Ioan Gruffudd, Archie Panjabi, Paul Giamatti
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Dès avant le Festival, cela se sentait, les films français auraient la part belle. Cinq sélectionnés en Compétition officielle donnaient une indication. Au final, la loi du nombre a payé.
Jacques Audiard, déjà primé à Cannes pour "Un héros très discret" et "Un prophète", remporte la Palme d'or pour un film où l'on retrouve un acteur belge: Marc Zinga. Jamais récompensé, Vincent Lindon obtient, avec le Prix d'interprétation masculine, une belle consécration. Quant à Emmanuelle Bercot, présente comme réalisatrice avec "La Tête haute" (film d'ouverture) et actrice dans "Mon roi" de Maïwenn, elle remporte le Prix d'interprétation féminine. Elle le partage avec Rooney Mara. Bizarrement, sa partenaire dans "Carol" de Todd Haynes, Cate Blanchett, n'est pas récompensée.
Pour un premier film, le Hongrois László Nemes a créé la sensation avec "Le fils de Saul", film se passant en 1944 dans le camp d'Auschwitz-Birkenau. Il était donné comme l'un des favoris pour la Palme d'or, il retourne dans son pays avec seulement le Grand Prix. Tout comme l'année dernière avec Xavier Dolan, le Jury a-t-il eu peur de récompenser un jeune talent ? Les arguments – trop jeune ou premier film – ne tiennent pas. La valeur n'attend pas le nombre des années.
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C'est ce dimanche soir qu'aura lieu la Cérémonie de clôture du 68ème Festival de Cannes. Moment où sera remis la Palme d'or ainsi que les autres prix attribués par le Jury présidé par les frères Coen. Mais déjà, plusieurs récompenses ont été remises.
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Taxi Téhéran de et avec Jafar Panahi
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La Tierra Roja de Diego Martinez Vignatti avec Geert Van Rampelberg, Eugenia Ramirez Miori
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Broadway Therapy (titre original: She's Funny That Way) de Peter Bogdanovich avec Jennifer Aniston, Imogen Poots, Owen Wilson, Will Forte, Rhys Ifans, Lucy Punch, Kathryn Hahn
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